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Université de Montréal

Jean-François Ouellette

J’ai commencé ma carrière dans le domaine de la sécurité dans les années 90. J’ai toujours eu un œil sur l’Université de Montréal comme employeur ! Avec cet objectif en tête, j’ai poursuivi mes études tout en travaillant et j’ai obtenu mon DEC en technique policière en 2006. J’ai atteint mon but en 2012, quand j’ai enfin obtenu un poste à l’UdeM dans l’équipe de la sûreté ! J’ai d’abord travaillé sur les quarts de soir, puis, avec l’arrivée de mes trois jeunes enfants, j’ai pu opter en 2016 pour un horaire de jour, qui facilite beaucoup la vie de famille.

J’ai été bien accueilli dès mon arrivée et je suis vraiment heureux depuis mon entrée en fonction. Ce que j’aime le plus ici, c’est que mon travail est vraiment diversifié. Chaque journée est différente ! Nous sommes appelés à faire des interventions de tout acabit : des urgences médicales, des événements spéciaux, des incidents criminels, des incendies, et j’en passe. La fonction de constable nous amène à travailler parfois seuls, en duo ou en équipe pour les événements. On ne s’ennuie jamais !

En rafale

Comment décririez-vous la vie à l'UdeM en trois mots ?

Dynamique, en évolution et enrichissante.

Quels sont les aspects originaux de votre emploi ?

On voit vraiment de tout et ça bouge vite ! Il ne faut pas oublier que la clientèle que l’on dessert à l’Université de Montréal est plus importante que le nombre d’habitants de plusieurs des villes du Québec. Je crois aussi que les mandats sont particulièrement intéressants grâce à la richesse de la communauté. Travailler dans un monde d’étudiants crée un environnement dynamique et unique. Nous avons l’occasion d’être entourés de personnes provenant de partout dans le monde et j’apprends beaucoup en les côtoyant !

Qu’est-ce que l’UdeM vous permet de faire que vous ne seriez pas en mesure de faire ailleurs ?

Assurément la relation d’aide. Le rôle de constable à l’Université est distinctif, nous sommes vraiment des agents de proximité avec notre communauté. Nous sommes, par exemple, régulièrement appelés à intervenir dans des situations de santé mentale. Nous pouvons réellement influencer positivement la vie d’étudiants ou d’employés dans ces moments, en les soutenant et en les guidant vers les bonnes ressources. L’idée de pouvoir aider les autres donne réellement un sens à ce que je fais.

Qu’est-ce qui vous a surpris lorsque vous avez commencé à travailler à l’UdeM ?

Quand j’ai commencé à travailler à l’UdeM sur les quarts de soir, je voyais plusieurs personnes venir sur le campus de la montagne pour contempler le coucher le soleil et prendre des photos. Je me trouvais drôlement chanceux de travailler dans cet environnement privilégié. Moi, j’ai la chance d’avoir cette vue imprenable en toile de fond tous les jours !