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Université de Montréal

Communications

Mai, mois du mont Royal

Chaque année, au mois de mai, les Amis de la montagne, qui sont aussi nos amis, organisent une série d’activités pour mettre en valeur le mont Royal, ce joyau naturel qui est à notre ville ce que les sept collines sont à Rome. Et l’Université de Montréal est un partenaire particulièrement actif de cette initiative verte.

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Chaque année, au mois de mai, les Amis de la montagne, qui sont aussi nos amis, organisent une série d’activités pour mettre en valeur le mont Royal, ce joyau naturel qui est à notre ville ce que les sept collines sont à Rome. Et l’Université de Montréal est un partenaire particulièrement actif de cette initiative verte.

À compter de lundi prochain, nous planterons 300 arbres dans le boisé situé à proximité de la station de métro Université-de-Montréal. L’activité, organisée en collaboration avec des écoles du quartier, mobilisera des jeunes et des moins jeunes pour créer rien de moins qu’une nouvelle enclave érablière dans un boisé déjà reconnu pour son exceptionnelle biodiversité. Une biodiversité que nous chérissons et  à laquelle nous accordons une grande importance.

Outre la plantation d’érables, de nombreuses autres activités seront organisées sur notre campus au cours du mois, dont une conférence des Belles soirées sur le patrimoine bâti du parc du mont Royal et des visites guidées du campus.

J’ai maintes fois répété que la préservation de la montagne est un engagement ferme de l’UdeM. Nous ne construirons plus sur les quelque 40 hectares d’espaces verts qui composent notre campus, soit environ 60 % de sa superficie totale. Notre avenir immobilier passe dorénavant par le développement du site de l’ancienne gare de triage à Outremont.

Mais notre engagement ne se limite pas à ce que nous ne ferons pas, il englobe aussi une foule de choses que nous ferons au cours des prochaines années, dont l’adoption d’une politique sur le développement durable, un projet de densification de la végétation du boisé Edouard-Montpetit, la récupération des eaux de ruissellement de la montagne, la réintroduction de la grenouille des bois, et j’en passe.

Bref, le flanc nord de la montagne est entre bonnes mains. Celles d’une université qui entend conjuguer les impératifs de son développement à long terme et la conservation de l’écrin de verdure qui lui sert de décor. Et quel décor !